A quoi sert un chef de projet digital ?

A quoi sert un chef de projet digital ?

L’Internet et le numérique ont donné naissance à de nombreux projets digitaux allant de la création d’un site vitrine au développement des applications mobiles. Complexes que nécessaires, ces projets sont actuellement entre les mains d’un professionnel appelé « chef de projet digital ». Cet expert s’appuie sur ses compétences techniques, sa culture digitale et ses connaissances en marketing pour mener à bien ses missions. De quelles fonctions parle-t-on au juste ?

La gestion d’un projet digital

Le chef de projet digital ou CPD est le premier responsable du projet. Au sein de l’entreprise, son intervention consiste d’abord à faire connaître tous les détails de son projet (moyens, compétences nécessaires, forces, faiblesses…) au personnel et aux directeurs. En externe, il est chargé de trouver la technique (présence sur les réseaux sociaux, création d’un site…) pouvant renforcer la visibilité de son entreprise.

En tant que chef de projet, il est en mesure de connaître :

·         Les étapes à suivre ;

·         La répartition des tâches ;

·         Le délai de réalisation ;

·         Le contrôle à faire ;

·         Le budget à prévoir.

Son rôle ne s’arrête pas là. Son implantation dans l’univers du web l’oblige à actualiser régulièrement sa culture digitale. Il doit par exemple maîtriser les nouvelles stratégies du Web ou des systèmes d’informations.

La préparation des propositions et cahiers des charges

Comme son nom l’indique, l’appel d’offres est une technique proche du recrutement. Mais à la seule différence qu’elle recourt au service des prestataires. Dans le domaine digital, elle permet de sélectionner une agence ou une entité externe à l’entreprise répondant aux critères prévus dans l’appel d’offres.

Avant d’y procéder, le chef de projet digital doit d’abord concevoir un cahier des charges. Il s’agit d’un document qui prévoit les étapes de la réalisation du projet, les conditions que le prestataire doit respecter, le délai du projet, etc.  

Le cahier des charges n’est pas le seul travail du chef de projet. Plusieurs acteurs l’ont aidé à l’établir. Le responsable des ressources humaines l’a par exemple assisté à la répartition des tâches. Les directeurs l’ont aussi aidé à modeler certains aspects de son projet.

Le pilotage des activités

Après le lancement du projet, la mission d’un chef de projet digital se poursuit au pilotage des activités. Sa fonction commence par la répartition des tâches entre les différents acteurs chargés de la réalisation du projet.

Son statut de chef de projet lui permet d’être à la tête des activités managériales, comme les réunions, l’animation… Son titre lui accorde également le pouvoir de surveiller si chaque action répond aux critères définis dans le cahier des charges.

Durant son activité de pilotage, il lui arrive aussi de travailler avec d’autres responsables afin de mieux gérer les activités.

Et enfin, son rôle se termine par l’évaluation de son projet digital. Cela intervient à la fin de toutes les activités ou tous les trimestres en fonction de l’entreprise. Dans tous les cas, l’évaluation lui permet de connaître les forces et les faiblesses de son projet. Il pourra également déterminer avec ses collaborateurs les pistes d’amélioration.

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Les filières Vins, Bières et Spiritueux ont leur référentiel RSE

Les filières Vins, Bières et Spiritueux ont leur référentiel RSE

Les filières Vins, Bières et Spiritueux ont leur référentiel RSE

Face aux nombreuses mutations sociétales profondes enregistrées ces dernières années, les acteurs des filières vins, bières et spiritueux ont été contraints de multiplier leurs actions en direction du développement durable, ce qui leur a permis de s’insérer dans une démarche RSE. Vous êtes vigneron, caviste… ou courtier dans ce secteur ? Voici tout ce qu’il faut savoir sur cette approche vertueuse.

La RSE : c’est quoi ?

Le sigle RSE signifie « Responsabilité Sociétale des Entreprises ». Issue du concept anglo-saxon « Corporate Social Responsibility (CSR) », celle-ci fait référence à la contribution des entreprises au développement durable.

Ainsi, les commerces des vins, bières et spiritueux, engagés dans cette démarche vertueuse, doivent adopter un comportement éthique et transparent pouvant leur permettre de trouver le parfait équilibre entre les trois axes fondateurs que sont l’efficacité économique, le respect de l’environnement et le progrès social.

En d’autres termes, ils doivent prendre en compte les besoins et attentes de leurs parties prenantes, respecter les normes internationales en vigueur et les droits de l’Homme ; le tout dans un souci d’intégration de la RSE. Pour mieux s’engager dans cette démarche, les maisons de vins peuvent, par exemple, s’appuyer sur le référentiel RSE proposé par l’Union des Maisons & Marques de Vin (UMVIN).

Quels sont les avantages de la RSE pour les maisons de vins, bières et spiritueux ?

S’engager dans une démarche RSE présente un grand nombre d’avantages pour les entreprises de vins, bières et spiritueux. Adopter une telle approche leur permet effectivement :

  • de développer leur compétitivité ;
  • de gagner de nouveaux marchés ;
  • de réaliser d’incroyables économies d’eau et d’énergie ;
  • de protéger l’environnement et la biodiversité ;
  • de développer leur notoriété et de valoriser leur image ;
  • de motiver leurs collaborateurs, leurs partenaires, leurs actionnaires et même d’attirer de nouveaux talents ;
  • d’innover dans leur domaine ;
  • de combattre la corruption ;
  • d’avoir accès à de nouvelles sources de financement ;
  • de favoriser leur ancrage territorial ;
  • de permettre une consommation durable et responsable.

De même, les sociétés qui appliquent une politique RSE sont en moyenne 13 % plus performantes que les autres. Et à cela, il faut ajouter la confiance des consommateurs et des autres parties prenantes que la Responsabilité Sociétale des Entreprises permet de renforcer.

Ainsi, en s’impliquant dans la RSE, les maisons de vins, bières et spiritueux ont l’occasion d’améliorer leur performance globale tout en répondant aux fortes attentes sociétales et environnementales du moment.

Filières Vins, Bières et Spiritueux : comment s’engager dans la RSE ?

Ce qu’il faut déjà savoir ici, c’est qu’il n’existe pas de méthode unique pour s’engager dans la RSE. Néanmoins, il est conseillé à chaque maison de vins et spiritueux d’adapter ses engagements RSE en fonction de ses enjeux prioritaires, de sa stratégie socio-économique, de ses parties prenantes et de ses objectifs à court et long terme aussi bien à l’échelle nationale, régionale que locale.

L’engagement RSE étant un processus à caractère répétitif, chaque acteur des filières ici concernées doit procéder à sa révision de façon annuelle. La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez vous faire accompagner chez EtOH Consulting d’un expert RSE dans la filière vins, bières et spiritueux pour une démarche RSE simplifiée et efficiente.

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Qu’est-ce que le RGPD

Qu’est-ce que le RGPD

Entré en vigueur dans l’ensemble des États membres de la communauté européenne en 2018, le RGPD a pour objectif de responsabiliser les organismes s’occupant du traitement des données personnelles et de renforcer les droits des personnes dont les données en font l’objet. Découvrez l’essentiel de ce qu’il faut savoir au sujet du RGPD dans cet article.

Que signifie l’acronyme RGPD ?

Le sigle RGPD veut dit « Règlement Général sur la Protection des Données ». Celui-ci a été établi dans le but d’encadrer le traitement et la circulation des données à caractère personnel sur le territoire de l’Union européenne.

Bien qu’il ne soit entré en vigueur dans l’ensemble des États membres de la communauté que le 25 mai 2018, ce règlement existe en réalité depuis le 27 avril 2016. Il n’était alors applicable que dans certaines nations européennes.

Mais depuis le scandale Facebook, qui a d’ailleurs valu au fondateur du réseau social de s’expliquer devant le Congrès américain et les députés européens, le RGPD s’est étendu aux autres pays d’Europe. Cette popularisation du règlement est due à la volonté européenne de définir un cadre juridique unifié, pour mieux faire face aux enjeux majeurs qu’implique le traitement de données personnelles.

Qui sont les personnes concernées par le RGPD ?

Le Règlement Général sur la Protection des Données concerne tous les organismes qui exploitent des données personnelles pour leur compte ou non, peu importe leur taille. Les petits, les moyens et les grands commerces de vins, bières et spiritueux font par exemple partie de cet ensemble.

Ainsi, même si cette réglementation ne s’applique principalement qu’aux organismes établis sur le territoire de l’Union européenne, ou dont l’activité cible de manière particulière les résidents européens, toutes les entreprises sont en réalité visées.

Est-ce à l’employeur de l’organisme concerné que revient la responsabilité de mettre en œuvre la protection des données ? Si cette tâche lui est assignée, c’est parce qu’il est considéré comme le responsable du traitement des données.

Au moment donc de vous assurer de la mise en conformité du traitement des données au RGPD, le responsable que vous êtes devra faire preuve d’une très grande vigilance.

Quels sont les droits des personnes dont les données sont traitées ?

Avant toute chose, il faut souligner que les personnes dont les données sont traitées par les sociétés viticoles, les commerces de spiritueux et autres, peuvent aussi bien être des collaborateurs, des clients, des prospects, des actionnaires que des partenaires de ces entreprises.

Ainsi, pour ne pas déroger à cette réglementation européenne, votre entreprise de vins, bières et spiritueux devra respecter les droits de ces derniers en la matière. Il s’agit principalement :

  • du droit d’accès : droit de savoir si leurs données sont ou non exploitées par votre société, et le cas échéant, accéder à celles-ci ainsi qu’aux informations les concernant ;
  • du droit de rectification : droit de rectifier les données inexactes les concernant ;
  • du droit d’opposition : droit de s’opposer à un traitement des données personnelles les concernant ;
  • du droit d’effacement ou droit à l’oubli : droit d’obtenir du responsable du traitement la suppression des données personnelles les concernant ;
  • du droit à la portabilité : droit d’obtenir et de réutiliser, à des fins personnelles, les données les concernant ;
  • du droit à la limitation du traitement : droit d’interdire au responsable du traitement l’utilisation de certaines données collectées.

Si pour vous, le RGPD reste un casse-tête, difficile à mettre en place, EtOH Consulting peut vous aider à vous mettre en conformité avec ce règlement. Contactez-nous pour en discuter !

Pour aller plus loin…

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Pourquoi c’était « mieux avant » et comment obtenir l’adhésion des équipes dans un projet digital

Pourquoi c’était « mieux avant » et comment obtenir l’adhésion des équipes dans un projet digital

La réussite d’un projet dans une entreprise dépend de plusieurs facteurs. Pour assurer une mise en œuvre réussie, il faut souvent obtenir le soutien et l’engagement des employés. Or, cette tâche peut devenir un cauchemar pour les managers s’ils ne disposent pas d’une stratégie pertinente pour les mobiliser. Voici donc quelques conseils pour faciliter la transition de l’ensemble de l’équipe vers la digitalisation.

Le passage au digital, une psychologie à part entière

Le numérique est aujourd’hui l’un des principaux vecteurs de transformation des entreprises et de leurs salariés. Véritable catalyseur d’échanges, le numérique ne modifie pas seulement le rapport entre le temps et l’espace, mais aussi le processus de travail en général. Mais face à ce changement, les collaborateurs doivent s’adapter et adhérer au système d’automatisation des tâches.

Il est clair que le passage d’une approche à une autre peut susciter des réticences chez les salariés. Or, pour mieux s’intégrer au nouveau processus, il est indispensable de renforcer la gestion prévisionnelle des métiers et des qualifications. D’où l’importance de l’accompagnement dans la transformation numérique. Cette responsabilité doit être assumée par les managers dans un premier temps, et par les responsables de la formation aux outils de travail dans un second temps.

L’adhésion, un secret pour la réussite d’un projet

La transformation numérique implique la dématérialisation des supports de travail. Pour assurer ce changement, tous les acteurs doivent former un système et s’engager sans contrainte dans la mise en œuvre de ce projet. Cet engagement se décline sur plusieurs axes, à savoir l’être (valeurs, culture d’entreprise, etc.), savoir-faire (actions, comportements, etc.) et savoir réaliser (objectifs, résultats, etc.).

La coopération est également un excellent vecteur d’engagement des employés. Il faut savoir que dans la gestion du changement, les phases collectives jouent un rôle important. C’est une approche qui privilégie les relations humaines à travers les échanges sur le nouvel espace de travail numérique. Cependant, l’accompagnement de la transformation doit être en adéquation avec les exigences de l’entreprise pour assurer la réussite de tout projet stratégique. Ainsi, le numérique touche à la fois les ressources physiques et humaines.

Méthodologie pour impliquer toute l’équipe dans un projet digital

Tout d’abord, le projet doit être précédé d’une séance d’information afin de parler du projet aux employés et ce, de manière transparente. Ces deux éléments sont impératifs pour éviter l’échec. Ensuite, il est essentiel d’impliquer les employés dans la préparation du projet dès le début. Cela permet de les rassurer et de les motiver. En effet, c’est une manière de les préparer au changement. L’information doit être claire, informative et convaincante. Il est conseillé de mettre en avant les avantages de la digitalisation.

Le plan social doit également être pris en compte et respecté. La discussion est essentielle pour éviter que les salariés ne se sentent complètement étrangers au projet. Les objectifs du projet doivent donc être co-construits avec eux pour les impliquer. Le but est d’établir les mêmes objectifs. C’est un moyen de les rassurer et de leur donner une vue d’ensemble des perspectives de la digitalisation pour l’avenir de l’entreprise.

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Pourquoi devriez-vous lancer une stratégie de gestion des emplois et des compétences lorsque vous vous digitalisez

Pourquoi devriez-vous lancer une stratégie de gestion des emplois et des compétences lorsque vous vous digitalisez

Les choses changent rapidement dans les affaires, et le rythme du changement ne fera que s’accélérer à mesure que de plus en plus d’entreprises feront évoluer leurs organisations vers des solutions numériques. Beaucoup de ces changements sont les bienvenus, mais d’autres peuvent provoquer une résistance de la part de certains membres de votre équipe. Que ce soit parce qu’ils ne comprennent pas comment leurs rôles seront affectés ou qu’ils ne voient tout simplement pas la nécessité de s’adapter, il peut y avoir quelques collègues qui essaient de garder les choses telles qu’elles sont. La digitalisation a pour but de changer, évoluer, avancer : automatiquement le quotidien de vos collaborateurs va changer, alors lorsque vous lancez un plan de transformation digitale, pensez également à associer un plan de gestion des emplois et des compétences.

Les effets de la digitalisation

La digitalisation a obligé les entreprises de tous les secteurs à lutter pour suivre le rythme. Les effets de la numérisation sont nombreux, allant de la résistance au changement à l’adaptation des compétences. L’incapacité de certains employés à faire face au changement peut entraîner une augmentation de la résistance des compétences, qui, si elle n’est pas traitée, peut avoir un impact sérieux sur votre entreprise. Pour éviter de perdre de la productivité, il est important de s’assurer que tous les employés possèdent les compétences appropriées pour les garder motivés et heureux dans leur rôle. Alors que de plus en plus d’organisations se tournent vers l’automatisation ainsi que vers l’intelligence artificielle dans le cadre de leur approche pour résoudre les problèmes causés par la numérisation, il est essentiel que les organisations soutiennent leurs ressources humaines avec des programmes de formation pertinents leur permettant d’adapter leurs compétences ou même de s’améliorer avant qu’elles n’aient besoin de ressources externes. aider. Ne pas le faire entraînera une rotation élevée du personnel, un faible niveau d’engagement parmi les talents clés et entravera la croissance de l’entreprise.

Gestion des emplois et des compétences dans une entreprise digitalisée

Les gens résistent au changement. Lors du lancement de votre digitalisation, il y aura nécessairement une résistance au changement. C’est naturel; après tout, nous ne voulons pas changer ce qui fonctionne bien pour nous. Une stratégie de gestion des emplois et des compétences est la façon dont vous gérez la résistance au changement ainsi que l’adaptation des compétences.

Premièrement, cela permet aux gens de savoir qu’ils ont des options sur la façon dont ils veulent participer à l’évolution de leur rôle tout en adaptant leurs compétences.

Cela leur permet également de trouver des moyens d’ajouter de la valeur à une organisation sans avoir à changer qui ils sont ou leur façon de travailler. Et enfin, il indique aux employés exactement où en est chaque service avant que des changements ne soient apportés afin que chacun puisse travailler à améliorer les choses plutôt que d’attendre simplement que les choses empirent.

La meilleure voie à suivre est toujours vers plus d’informations, plus de compréhension et plus d’adaptabilité. En adoptant dès maintenant ces outils dans votre ensemble de compétences, vous et votre entreprise pourrez accepter le changement au lieu d’être écrasés par celui-ci !

Comment les organisations peuvent-elles profiter de cette tendance ?

La résistance au changement n’est pas nouvelle, mais même ainsi, de nombreuses entreprises ont encore du mal à adapter leur main-d’œuvre à l’évolution des compétences et des emplois.

Cela est particulièrement vrai pour les industries qui sont des piliers de longue date de leurs communautés (pensez au commerce de détail, aux voyages/à l’hôtellerie).

Selon les consultants de Deloitte, il existe trois clés pour naviguer avec succès dans la résistance au changement : (1) construire à partir d’une base inclusive ; (2) communiquer dans toute votre organisation ; et (3) favoriser une gestion efficace du changement.

Et bien que le plan de chaque organisation soit différent, les changements à grande ou petite échelle devraient commencer par impliquer tout le monde dans les décisions concernant l’adaptation des compétences. Commencez par impliquer tous les niveaux de gestion, en obtenant les commentaires des employés sur la façon dont ils voient ces tendances affecter leur travail quotidien ainsi que sur la façon dont ils se voient contribuer à la réalisation des objectifs de l’entreprise. Communiquez ces résultats à votre équipe par le biais de bulletins d’information et de réunions publiques afin que les gens sachent ce qui s’en vient et puissent se préparer à des opportunités dans des rôles évolutifs.

Pour aller plus loin…

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