Un logiciel bien conçu répond à toutes les exigences du client et des utilisateurs, et il n’est démuni d’aucun bug. La réalisation d’une application nécessite des millions de lignes de code, ce qui constitue une source d’erreurs considérables. Les bugs informatiques, les dysfonctionnements ou encore erreurs de programmation peuvent être mineurs ou importants. L’objectif du test est de les éliminer. Mais les tests de bugs entraînent des coûts considérables qui peuvent être réduits avec des étapes de test efficaces.
Étape 1 : Établir un périmètre de test clair, précis et détaillé
Pour obtenir un résultat satisfaisant, il est important que le logiciel soit vérifié et testé par des testeurs qui l’utilisent pour la première fois. Cela signifie qu’ils n’ont aucune connaissance préalable du programme. Dans la préparation du périmètre de test, quelques points méritent une attention particulière :
objectif principal à définir : cela permet au testeur de se focaliser sur les parties importantes du projet.
l’objet du test
les éléments hors périmètres : définir tout ce qui est hors périmètre permet au testeur de rester dans la zone de tests.
Prérequis : la réalisation du test nécessite des moyens et de minimum de connaissance qu’il faut préciser (matériel informatique, système d’exploitation, connexion internet, connaissance en hardware ou en software…) .
Étape 2 : Concevoir des séries de tests faciles à réaliser
Pour établir des cas de test efficaces, il est conseillé de suivre les recommandations suivantes, notamment lorsque le test est réalisé à un public externe.
Formuler un titre clair et explicite qui résume la description des cas de tes
Écrire en quelques phrases pour aider le testeur à commencer.
Il est important de préciser la durée du test surtout si le cas doit être réalisé sans interruption sur une période précise.
Pour chaque étape du test, il est également très utile d’apporter des informations de contexte. Ce point permet au testeur de savoir ce qu’il doit faire, trouver et d’apprécier l’effet de l’application.
Lister toutes les fonctionnalités qui doivent marcher sans dysfonctionnement
Établir un cas de test logique, intuitif et satisfaisant
Regrouper les informations et les données de test
Étape 3 : Collecter les résultats du test et les traiter
Une fois que tous les tests sont terminés et que les résultats sont disponibles pour une évaluation, c’est l’heure du bilan. Il est essentiel de prendre le temps d’analyser les retours des testeurs afin de pouvoir apporter les rectifications nécessaires et de les intégrer dans le prochain cas de test.
Le processus peut être itératif s’il s’agit d’un cycle, mais peut être aussi unique. Quoi qu’il en soit, les cas de tests sont utiles même pour tirer des leçons pour les prochaines éditions de logiciel.
Les tests sont essentiels dans le processus de développement de logiciel. Pour éviter la correction de nombreux bugs avant livraison, il est souhaitable que le dysfonctionnement soit identifié au moment de la réalisation du projet qu’à la fin. Dans ce cas, le résultat d’évaluation et de retour de test ne peut être que positif.
Un logiciel bien conçu répond à toutes les exigences du client et des utilisateurs, et il n’est démuni d’aucun bug. La réalisation d’une application nécessite des millions de lignes de code, ce qui constitue une source d’erreurs considérables. Les bugs […]
L’ergonomie logicielle est une discipline axée sur l’amélioration de la conception des applications informatiques utilisées sur le lieu de travail. Aujourd’hui, sa popularité a décliné, effacée par d’autres domaines tels que le design d’interaction ou le design d’expérience utilisateur. Cependant, […]
La gestion de projet est un domaine passionnant enrichissant. Mais le gestionnaire peut être confronté à de nombreux obstacles à tous les stades de réalisation. Pour s’assurer que le projet soit une réussite, des erreurs prévisibles sont à éviter à […]
L’ergonomie logicielle est une discipline axée sur l’amélioration de la conception des applications informatiques utilisées sur le lieu de travail. Aujourd’hui, sa popularité a décliné, effacée par d’autres domaines tels que le design d’interaction ou le design d’expérience utilisateur. Cependant, elle joue toujours un rôle très important dans la prévention des risques professionnels liés à l’utilisation de la technologie.
Qu’est-ce que l’ergonomie des logiciels ?
L’ergonomie est la science qui étudie l’interaction entre les humains et les autres éléments d’un système, souvent dans l’environnement dans lequel une personne effectue son travail. L’objectif est, par la conception, d’influencer deux résultats des activités humaines dans ces systèmes :
les performances, entendues dans ce contexte comme la productivité, l’efficacité, la sécurité, la fiabilité, etc.
le bien-être, qui fait référence à la santé et à la protection des travailleurs, à la satisfaction au travail, au développement professionnel, etc.
Imaginons un poste de travail de bureau typique, où la personne est assise devant un écran d’ordinateur : Nous pouvons penser que ce lieu de travail sera sain s’il maintient des conditions adéquates de température, d’éclairage, d’absence de bruit, etc.
Le lieu de travail sera également confortable s’il dispose de chaises, de tables, de claviers et de souris ergonomiques. Il est entendu que les travailleurs dans ces conditions feront leur travail mieux, plus confortablement, en évitant les troubles musculaires et la fatigue physique et mentale. Mais les logiciels, les programmes informatiques, font aussi partie de ce lieu de travail.
Principes de conception ergonomique des logiciels
Une source d’exigences pour les logiciels est la norme ISO 9241-110:2006, qui énonce les principes ergonomiques :
Adéquation de la tâche : un logiciel sera adéquat s’il aide le travailleur à atteindre les objectifs de la tâche. Certains des aspects qui y contribuent sont d’éviter de présenter des informations qui ne sont pas pertinentes pour la tâche ou d’afficher par défaut les valeurs d’entrée les plus fréquentes.
Autodescriptif : un logiciel est autodescriptif lorsque l’utilisateur peut savoir immédiatement où il se trouve dans le processus, quelles actions peuvent être effectuées et comment les effectuer. À cette fin, la nécessité de consulter les manuels d’utilisation devrait être réduite, et le système devrait spécifier le type d’informations attendues en entrée.
Conformité aux attentes des utilisateurs : le fonctionnement du logiciel et le langage utilisé doivent être prévisibles et conformes aux conventions du métier. La cohérence des processus d’appel est attendue. Par exemple, le terme « Enregistrer » doit toujours être utilisé pour stocker un fichier et non des alternatives telles que « Enregistrer » ou « Télécharger ».
Adéquation de l’apprentissage : le système doit guider et aider l’utilisateur à apprendre comment il fonctionne, par exemple en fournissant des explications sur les processus qu’il a exécutés et sur les erreurs qui se sont produites.
Risques et conséquences d’un logiciel non ergonomique
Tout comme les lieux de travail malsains peuvent affecter les performances et la santé des personnes au travail, les logiciels mal conçus ont également des effets négatifs sur les performances et le bien-être. Cela aura des effets néfastes dans chacun de ces domaines.
Un logiciel mal conçu est un logiciel qui sera sous-utilisé, mal utilisé voire sous-utilisé. Au mieux, le collaborateur aura des difficultés à réaliser efficacement son travail, au pire, il pourra être démotivé voire faire des erreurs qui peuvent lui être préjudiciables et créer des risques non négligeables pour l’entreprise.
L’outil doit être au service de l’homme et non l’inverse. Si vos collaborateurs sont ralentis ou ressentent de vraies difficultés dans l’usage de votre logiciel, alors changez de logiciel !
Un logiciel bien conçu répond à toutes les exigences du client et des utilisateurs, et il n’est démuni d’aucun bug. La réalisation d’une application nécessite des millions de lignes de code, ce qui constitue une source d’erreurs considérables. Les bugs […]
L’ergonomie logicielle est une discipline axée sur l’amélioration de la conception des applications informatiques utilisées sur le lieu de travail. Aujourd’hui, sa popularité a décliné, effacée par d’autres domaines tels que le design d’interaction ou le design d’expérience utilisateur. Cependant, […]
La gestion de projet est un domaine passionnant enrichissant. Mais le gestionnaire peut être confronté à de nombreux obstacles à tous les stades de réalisation. Pour s’assurer que le projet soit une réussite, des erreurs prévisibles sont à éviter à […]
La gestion de projet est un domaine passionnant enrichissant. Mais le gestionnaire peut être confronté à de nombreux obstacles à tous les stades de réalisation. Pour s’assurer que le projet soit une réussite, des erreurs prévisibles sont à éviter à tout prix. En tant que leader et manager, le chef de projet doit faire valoir ses expériences et ses compétences pour anticiper les pièges.
Voici les trois principales erreurs qu’il ne faut pas commettre en gestion de projet.
Une mauvaise communication entre les acteurs du projet
La communication constitue un pilier central dans la conduite et la réussite d’un projet. Sa réalisation nécessite une communication claire, fluide et permanente, notamment entre les différentes parties prenantes. Plusieurs types de communication existent et il est du rôle du chef de projet de déterminer la communication qui fonctionne le mieux pour son équipe.
À aucun moment, les correspondances ne doivent s’interrompre en s’appropriant tous les moyens à disposition : courriers électroniques, appels, échanges en visioconférence, messages instantanés… Ainsi, il faut doter à l’équipe des outils de communication adéquats et infaillibles. Toutefois, il est important pour le gestionnaire de projet que tous les membres de l’équipe participent aux échanges et aux partages d’informations.
Des processus flous et des informations ambigües
Avoir des processus flous est une erreur qui ne pardonne pas. L’idéal est de rédiger avant le lancement du projet un cahier des charges avec des contenus de qualité. Le cahier des charges permet aux acteurs de connaître avec précision leurs rôles et leurs responsabilités.
Une mauvaise définition de la mission peut conduire à différentes interprétations et malentendus. Si chacun est à sa place et connaît sa mission ainsi que son domaine d’intervention, l’exécution des tâches sera plus simple et plus fluide. Le plus important est de savoir placer des points de contrôle à chaque étape du processus.
En outre, il est crucial d’échanger des informations claires, précises et complètes. En cas de changement majeur dans le déroulement du projet, ce qui est fort probable, l’ambiguïté ne résout pas la situation. Ainsi, il faut savoir s’adapter aux changements..
Une gestion des risques négligée
Aucun projet n’est à l’abri de tout risque. Les risques existent toujours, il existe plusieurs moyens de les anticiper : soit en les éliminant, soit en les réduisant soit en les transférant. Dans ce dernier cas, l’idée est de ne pas les subir, mais de les laisser aux autres (assurance, autres prestataires…). Avoir une bonne gestion des risques constitue un avantage majeur dans la réussite du projet.
Pour prévoir les erreurs et éviter les pièges, la gestion efficace est l’utilisation d’un logiciel de gestion de projet. Une application intègre de multiples fonctionnalités qui permettent de tout gérer : la réalisation, la communication, les risques, les contraintes, les changements.
Quoi qu’il en soit, le succès d’un projet dépend d’un budget suffisant pour couvrir toutes les charges.
Un logiciel bien conçu répond à toutes les exigences du client et des utilisateurs, et il n’est démuni d’aucun bug. La réalisation d’une application nécessite des millions de lignes de code, ce qui constitue une source d’erreurs considérables. Les bugs […]
L’ergonomie logicielle est une discipline axée sur l’amélioration de la conception des applications informatiques utilisées sur le lieu de travail. Aujourd’hui, sa popularité a décliné, effacée par d’autres domaines tels que le design d’interaction ou le design d’expérience utilisateur. Cependant, […]
La gestion de projet est un domaine passionnant enrichissant. Mais le gestionnaire peut être confronté à de nombreux obstacles à tous les stades de réalisation. Pour s’assurer que le projet soit une réussite, des erreurs prévisibles sont à éviter à […]
Sans cahier des charges, il est pratiquement difficile de réaliser un projet : transformation digitale, création de sites web, campagne de référencement naturel ou payant… Le cahier des charges est un document important, car il contient des informations importantes. Il trace la route à suivre qui mène vers l’objectif. Quelles sont les informations essentielles que contient un cahier des charges ? Et comment l’établir ?
Cahier des charges : définition
Le cahier des charges ou plus communément CDC est un document dans lequel les spécificités techniques d’un projet sont clairement définies. Actuellement, de nombreuses entreprises sont passées à la transformation digitale pour profiter des opportunités qu’offre ce domaine. Pour réaliser leur projet digital, elles ont recours à des professionnels ou des agences spécialisées. Le cahier des charges est important, car il permet :
de définir les exigences et les besoins de façon claire et structurée
de placer tous les acteurs du projet au même niveau d’informations : il s’agit donc d’un document de référence ayant un caractère précis, complet, facile à interpréter, compréhensible.
À l’agence d’établir une offre pertinente.
Ce que peut contenir un cahier de charges
Le cahier des charges détermine le milieu et le contexte dans lequel l’entreprise intervient ou veut intervenir. À cet effet, un grand nombre d’informations précises et détaillées doivent être réunies dans ce seul document. Voici quelques catégories d’informations clés qui doivent être intégrées dans le cahier :
les besoins et les exigences du client qui se déclinent en objectif
la liste exhaustive de tous les acteurs du projet ainsi que la distribution des rôles et responsabilités
la liste des fonctionnalités nécessaires à la réalisation du projet permettant d’aboutir au résultat attendu
les informations techniques d’un projet semblable
le montant du budget alloué à la réalisation
les contraintes ou les éventuels blocages ou risques
les délais de réalisation ou de validation
le circuit de traitement ou le processus
les clauses particulières : règles de confidentialité, concurrence, propriété intellectuelle… .
Comment formaliser un cahier des charges
Sur le format, il n’existe aucune forme conventionnelle ou prédéfinie. Sur le fond, le contenu doit être intelligent, cohérent et détaillé. Pour une application digitale, voici une structure de CDC qui peut être modélisée au sein d’une entité :
introduction.
L’introduction expose une présentation de l’entreprise et du projet dans sa globalité. Il est aussi important de parler du contexte dans cette partie.
Identification et définition des contraintes et des besoins
Pour atteindre l’objectif, il faut proposer dans le cahier des charges les solutions à chaque contrainte ainsi que les besoins pour chaque solution. Les besoins comprennent ceux des utilisateurs, des acteurs du projet et peuvent se traduire par la suite en moyens (matériels, financiers, humains).
Le calendrier et les délais d’exécution
Quel que soit le type de projet, il y a toujours un début et de la fin. Il faut aussi fixer les deadlines.
Ce n’est pas au nombre de pages ou à la quantité d’informations qui est contenue dans un cahier de charge qui est important. C’est la qualité des informations qui y sont intégrées sur le plan contextuel, administratif, technique et financier.
Un logiciel bien conçu répond à toutes les exigences du client et des utilisateurs, et il n’est démuni d’aucun bug. La réalisation d’une application nécessite des millions de lignes de code, ce qui constitue une source d’erreurs considérables. Les bugs […]
L’ergonomie logicielle est une discipline axée sur l’amélioration de la conception des applications informatiques utilisées sur le lieu de travail. Aujourd’hui, sa popularité a décliné, effacée par d’autres domaines tels que le design d’interaction ou le design d’expérience utilisateur. Cependant, […]
La gestion de projet est un domaine passionnant enrichissant. Mais le gestionnaire peut être confronté à de nombreux obstacles à tous les stades de réalisation. Pour s’assurer que le projet soit une réussite, des erreurs prévisibles sont à éviter à […]
Qu’il s’agisse d’une entreprise ou d’un projet, la charge administrative est un élément indispensable pour le bon fonctionnement des activités. Il est incontestable que c’est une structure non productive, mais plutôt d’un support important. La digitalisation d’un processus, d’une opération ou d’une activité peut contribuer à l’allègement de certaines charges administratives, voire les supprimer.
Quand le digital se met au service des entreprises !
La technologie du numérique inonde le monde professionnel depuis quelques dizaines d’années. Elle s’invite dans tous les domaines : administratifs, techniques, logistiques, opérationnels…
L’usage du numérique a apporté plus d’avantages que d’inconvénients dans le traitement des tâches administratives :
allègement de certaines opérations
suppression de certaines tâches
automatisation de certaines procédures
instauration d’une nouvelle gestion des ressources humaines
nouveau traitement des processus métiers
Pour les techniciens et les agents opérationnels, les activités administratives sont considérées comme un mal nécessaire. En effet, ils doivent consacrer près de 50 % de leur temps pour régulariser les aspects administratifs de leurs missions. Dans un projet, les activités administratives constituent un ensemble d’opérations non négligeables. Heureusement, la transformation digitale a son mot à dire. La technologie digitale a apporté des transformations immenses dans la manière dont les entreprises traitent les charges administratives.
Comment le digital peut-il alors en terminer avec la charge administrative ?
Le digital a complètement révolutionné la gestion administrative que ce soit au sein d’une organisation ou que ce soit au sein d’un projet. Il contribue à :
L’optimisation des activités à faible valeur ajoutée : cette partie consiste à alléger les activités administratives en exploitant à fond l’efficacité des nouvelles technologies. Une activité est considérée comme à faible valeur ajoutée lorsque sa suppression n’est pas possible alors qu’elle n’est ni un secteur productif ni un secteur opérationnel. Elle se définit alors comme une activité de support ou de soutien.
La dématérialisation des procédures et des pièces administratives : la dématérialisation est une méthode qui consiste à développer en interne un circuit de traitement des opérations sous forme numérique. Les pièces administratives sont numérisées afin de suivre le circuit sans besoin de supports physiques.
La centralisation des informations et de leurs traitements : l’exploitation des informations ne peut être optimale que si elles sont centralisées. Les outils digitaux contribuent à améliorer les circuits d’informations et les traitements.
Quels sont les impacts que le digital apporte dans la charge administrative ?
Comme il a été clairement relaté dans un paragraphe plus haut, le numérique apporte de nombreux avantages. Au niveau de la charge administrative, les impacts sont :
l’utilisation optimale des ressources
la facilité d’accès aux informations grâce à la centralisation
la réduction des coûts (économie d’argent) et la fluidité des traitements grâce à la dématérialisation
le gain de temps : dans la gestion de projet, gagner du temps dans chaque processus constitue un point fort pour livrer dans le temps.
l’optimisation de la productivité : réduire le temps dans la gestion de la partie administrative permet de gagner en productivité et en efficacité.
Un logiciel bien conçu répond à toutes les exigences du client et des utilisateurs, et il n’est démuni d’aucun bug. La réalisation d’une application nécessite des millions de lignes de code, ce qui constitue une source d’erreurs considérables. Les bugs […]
L’ergonomie logicielle est une discipline axée sur l’amélioration de la conception des applications informatiques utilisées sur le lieu de travail. Aujourd’hui, sa popularité a décliné, effacée par d’autres domaines tels que le design d’interaction ou le design d’expérience utilisateur. Cependant, […]
La gestion de projet est un domaine passionnant enrichissant. Mais le gestionnaire peut être confronté à de nombreux obstacles à tous les stades de réalisation. Pour s’assurer que le projet soit une réussite, des erreurs prévisibles sont à éviter à […]
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