Paru pour la 1e fois en 1996, et aujourd’hui à sa 6e édition, le PMBOK est un guide réunissant toutes les connaissances en management de projet. Depuis 1999, il est reconnu par l’American National Standart Institute comme la référence en gestion de projet.

Le PMBOK détaille chaque étape d’un projet sur toute la durée de réalisation. Il propose aux équipes une méthode leur permettant d’estimer la charge de travail, les moyens à mettre en œuvre, évalue les budgets, l’exécution des tâches, les ressources… Il accompagne les équipes projet et indique la méthode à suivre pour piloter un projet avec succès tout en indiquant la qualité, les risques potentiels, mais également toute la communication à envisager. Ainsi le PMBOK précise, dès le lancement du projet, le planning d’exécution et de contrôle des tâches à réaliser tout au long de la conception jusqu’à la concrétisation du projet.

Applicable à tous les secteurs, particulièrement adaptée au tertiaire, la méthode PMBOK prend en considération la réalité et les contraintes de l’environnement de chaque client. Elle permet aux différents acteurs du secteur de standardiser leurs bonnes pratiques au sein des différents services d’une même entreprise.

Le PMBOK estime que chaque projet doit passer par les 5 groupes de processus suivants :

• le démarrage où sont définis les besoins auxquels le projet répond pour en avoir un aperçu d’ensemble. On peut ainsi envisager son déroulement, avoir une idée du budget et des délais ainsi que les intervenants indispensables à la réalisation du projet ;
• la planification où sont précisées les différentes étapes du projet et toutes les informations nécessaires à sa réalisation ;
• l’exécution est la phase dans laquelle tous les intervenants, sous la direction du chef de projet, sont à l’œuvre pour mener à bien le projet en respectant le budget et les délais ;
• le suivi démarre dès que le projet est lancé et exige du chef de projet de suivre la progression de chaque étape pour lui permettre d’intervenir au plus vite en cas de non-conformité en terme de délais et de budget mais aussi les risques, les imprévus et l’évolution de la demande du client ;
• la clôture intervient une fois le projet réalisé et considère les retours du client, le respect du budget et des délais. Cette phase est importante en terme d’avenir puisqu’elle permet de répertorier ce qui a été bénéfique et les erreurs et d’en tirer les leçons.

Pour vous aider à concrétiser vos projets grâce à la méthode PMBOK, EtOH Consulting spécialiste du secteur des boissons alcoolisées, met ses connaissances et ses expériences de la méthode à votre service et vous accompagne dans la gestion de tous vos projets.

Appartenant à la famille des méthodes agiles, le FFD, pour Feature-Driven Development, est basé sur des concepts incrémentiels et itératifs.

Le Feature Driven Development permet de développer un logiciel en fonction de la réalisation et de la progression des fonctionnalités les plus pertinentes que vous devez mettre en place sur votre site de vente Internet.
Côté développeurs, la méthode FDD donne la possibilité à plusieurs équipes de travailler en simultané sur un même projet.
Le FDD est donc particulièrement adapté aux projets de grande échelle tout en conservant les grands principes des méthodes agiles : itérations très courtes, livraisons fréquentes, fonctionnalités de chaque ressource, communication permanente des équipes, disponibilité des experts.
Tout projet réalisé avec la méthode FDD débute par la création d’un domaine, le modèle en quelque sorte. Celui-ci se compose de plusieurs fonctionnalités qui doivent être mises en œuvre en quelques jours seulement sans ne jamais dépasser 2 semaines. Dans le cas où une fonctionnalité est irréalisable dans ce délai, elle doit être divisée en fonctionnalités plus petites et plus faciles à gérer.
Chaque fonctionnalité est ensuite planifiée, réalisée et mise en application selon le processus incrémentiel et itératif qui envisage de suivre l’avancement du projet par un code couleur et de le mettre à jour à chaque itération.
Très évolutive, particulièrement adaptée aux équipes pluridisciplinaires et concentré sur les attentes des clients, la méthode FDD a fait ses preuves au point de rencontrer un succès grandissant auprès de grands groupes.

• développer un modèle d’ensemble pour définir les grandes lignes de votre modèle de domaine, celui que votre projet de développement logiciel doit résoudre. Pour chaque domaine de modélisation, plusieurs petits groupes d’intervenants proposent différents modèles de domaine dont les meilleurs sont sélectionnés pour former un modèle d’ensemble ;
• lister les fonctionnalités à réaliser comme les mots de passe des utilisateurs, le montant des paniers, les codes avantages clients… en fonction des attentes des visiteurs ;
• organiser le planning des fonctionnalités selon l’ordre de priorité de chacune ;
• créer chaque fonctionnalité suivante à l’issue des itérations fréquentes tout en faisant un point sur la conception de la fonctionnalité ;
• appliquer chaque fonctionnalité et réaliser tous ses éléments pour aboutir à la mise en application de l’interface utilisateur. Avant sa validation définitive, un prototype est testé et la version définitive devient accessible aux clients que lorsque ce test est réussi.

Pour vous permettre d’améliorer l’expérience visiteur de votre site vendeur et proposer des fonctionnalités qui répondent aux attentes de vos clients, EtOH Consulting, spécialisée sur le secteur des boissons alcoolisées, vous accompagne dans la réalisation de tous vos plus grands projets de manière rapide, efficace et évolutive grâce à ses connaissances et à ses expériences de la méthode FDD.

Alternative à la méthode du chemin critique, le CCPM, ou méthode de chaîne critique en français, est une méthode de planification et de suivi des délais. Issue des enseignements de la Théorie de Contraintes (TOC), elle est basée sur un référentiel de méthodes, de savoirs et d’outils de management commun à tous les acteurs du projet. Elle permet notamment, une plus grande maîtrise des délais et des budgets.

Pour atteindre vos objectifs, la méthode du chemin critique a montré ses limites en terme de coûts et de délais respectés. Ces faiblesses sont notamment dues au manque d’interdépendance entre les tâches et les ressources, mais aussi à la surestimation des délais. L’évaluation de la durée des tâches est surestimée pour s’assurer de rentrer dans les délais favorisant ainsi la loi de Parkinson (tout travail tend à s’étaler sur l’intégralité du temps qui lui est imparti) et le syndrome de l’étudiant (se mettre au travail au dernier moment) .
<br>La méthode de chaîne critique permet d’éviter les causes de retard, elles-mêmes causes de dépassement de budget, et envisage des solutions cohérentes en terme de coordination des ressources et de planification.

Le CCPM permet de mener à bien tout projet en réduisant les délais et les coûts. Pour ce faire, il demande aux ressources d’estimer une durée de réalisation de la tâche qu’il divise par 2. Il propose ensuite de consacrer la moitié du temps restant à la réalisation de la tâche et de réserver l’autre moitié comme un buffer, tampon conservant les marges de sécurité qui pourront être utilisées en cas de retard en fin du projet. Le CCPM suggère ainsi de ne plus se focaliser sur la tenue des délais planifiés de chaque tâche, mais sur la date butoir de l’achèvement du projet.
Le CCPM propose également un contrôle et une visualisation commune de la progression des tâches réguliers, idéalement de façon quotidienne, offrant transparence et réactivité à tout intervenant. Il permet ainsi d’établir une relation de confiance entre les ressources, les chefs de projets et les managers, ce qui assure au projet d’être mené à bien en temps et en conformité.
Le CCPM prend en compte les dépendances logiques entre les tâches, les actions amont et aval (liens prédécesseurs – successeurs) inhérentes à la réalisation du projet et insérées dans les plannings, et les dépendances entre les ressources qui fait qu’une ressource n’est pas multitâche et ne peut être réalisée correctement qu’une tâche à la fois. Ce qui fait de lui le chemin le plus long de dépendances entre les tâches, mais résout le problème de disponibilité des ressources.

Pour vous donner toutes les chances de mener à bien projet tout en étant fixé sur les délais de livraison, EtOH Consulting couvre tous les services de valorisation de produit dans le secteur des boissons alcoolisées et peut prendre en charge votre gestion de projet en vous proposant un CCPM efficace.

Issue de l’ouvrage de Robert K. Wysocki, leader charismatique dans le domaine de la gestion de projet, intitulé Adaptive Project Framework : Managing Complexity in the Face of Uncertainty et paru en 2010, la méthode APF tend à s’adapter constamment à l’évolution d’un projet en cours.

Appelée parfois gestion adaptative en français, la méthode AFP permet de s’adapter à l’évolution du marché, des attentes des clients, des fonctionnalités d’Internet et aux changements à envisager en cours de développement. L’APF est ainsi une méthode très souple, dans laquelle rien n’est figé et tout peut être ajusté aux changements de caractéristiques du projet.

Tout le succès de la méthode APF repose sur l’adaptation et l’acception de changement de la part de l’équipe et sur l’implication du client. Cette relation de confiance basée sur la communication et l’interaction, permet de s’appuyer sur les résultats précédents en vue d’amélioration pour s’assurer que le projet correspond bien au marché. Ceci assure une valeur commerciale maximale au produit et élimine tout ce qui ne lui apporte pas de valeur ajoutée.

L’AFP propose les 5 étapes suivantes :

1. la définition de la portée du projet, c’est-à-dire l’objectif du projet, ce que le client attend et qui est appelé les conditions de satisfaction ou CdS. Une fois ces dernières validées, un POS (Project Overview Statement) est rédigé pour les résumer et pour indiquer le processus de réalisation du projet, lister les risques et les obstacles éventuels. 3 documents sont alors réalisés :
   • la liste, dans l’ordre de priorité et évolutive, des actions à réaliser ;
   • l’OTP, pour Organigramme des Tâches du Projet, ou WBS en anglais (Work Breakdown Structure), qui décompose les tâches à accomplir pour atteindre les objectifs et ;
   • le triangle scope qui indique comment la qualité du projet est influencée par les délais, les coûts et le périmètre du projet.
2. Le planning des itérations : chaque projet est divisé en cycles, ou itérations, qui doivent fournir un ou plusieurs livrables. Ici, il s’agit donc de planifier chaque tâche, dont la liste est établie d’après l’OTP.
3. La réalisation du cycle, moment à partir duquel le travail commence. Il est important de suivre et d’ajuster chaque tâches dans les temps impartis. En cas de non-finalité dans les délais, elle sera reportée sur le cycle suivant.
4. Le point de contrôle client qui propose au client, de façon régulière, de vérifier l’avancement et la conformité des résultats obtenus jusque-là et d’envisager les éventuelles rectifications en collaboration avec le chef de projet.
5. Le compte-rendu définitif au cours duquel l’équipe et le client vérifient si les objectifs ont été atteints, évaluent le succès du projet et consignent les améliorations à apporter en cas de projet à venir.

Créée dès les années 1990 pour les projets de développement web et informatique, la méthode agile a été adoptée par des entreprises de tous les secteurs au point que l’on parle aujourd’hui d’entreprise agile.

L’agilité consiste à établir une relation de confiance au sein des équipes tout en favorisant la remise en question permanente des développements et des processus dans le seul but d’amélioration. Elle a été mise en application dès que les méthodes conventionnelles de gestion de projet n’ont plus été adaptées à la complexité grandissante des projets informatiques de l’époque.
Très souple, la méthode agile allège le processus en autorisant d’adapter l’organisation du projet aux changements en fonction de l’évolution des besoins du client et des fonctionnalités d’Internet. Les itérations courtes et le processus d’amélioration continue proposés par les méthodes agiles permettent d’anticiper et de réagir rapidement aux imprévus afin d’éviter tout dépassement.

La méthode agile suppose une communication permanente et une confiance totale entre les différents intervenants du projet pour assurer une collaboration pleine et fructueuse en toute transparence. Elle encourage la remise en question permanente des actions et des processus et est le meilleur allié pour faire face à des projets ou des imprévus toujours plus complexes. Tout l’intérêt de la méthode agile est d’apporter régulièrement des changements afin de mener à bien le projet. Il est, en effet, bien plus facile d’apporter au fur et à mesure des petites améliorations sans impact majeur, plutôt que d’effectuer, de temps en temps, de gros changements. La méthode agile limite ainsi les risques de dérapage trop important. Le processus d’amélioration continue s’intègre tant au management qu’au développement et répond aux besoins de toutes les spécificités envisageables.
La culture de chaque individu est respectée et entendue pour créer une véritable culture collaborative, favorisant le développement des potentiels. La méthode agile encourage ainsi l’innovation et, pour chaque nouvelle opportunité, permet d’apporter facilement des solutions personnelles à chaque client pour l’aider à se démarquer.

Si la méthode agile est simple à mettre en place, dès le départ, pour une jeune entreprise, dans les entreprises matures, il est difficile de changer les façons de raisonner, les modes de gestion et les habitudes. Devenir une entreprise agile, privilégiant les capacités individuelles au processus rigide, sous-entend qu’il faut changer ces habitudes et ne plus privilégier la rentabilité, mais la satisfaction du client pour assurer la bonne réputation de l’entreprise et les contrats à venir.
Devenir une entreprise agile nécessite donc une véritable transformation dans sa façon de travailler et de penser. EtOH Consulting peut vous accompagner dans votre gestion de projet et faire de l’adaptabilité, de la flexibilité et de la réactivité les 3 atouts de votre entreprise pour en faire une entreprise agile, donc réactive et dynamique.